Un philosophe peut fort bien se perdre dans ses problèmes personnels, ou un savant dans ses émotions, alors qu’un disciple engagé sur une voie spirituelle saura qu’il fait fausse route s’il constate qu’au fil des mois et des années ses qualités humaines — bonté, tolérance, paix avec soi-même et avec autrui — déclinent au lieu de croître.