L'automne était le moment de l'année qu'il préférait, pas seulement pour ses couleurs changeantes, mais pour la fraîcheur de l'air et l'acuité de la lumière. Avec la chute des feuilles, le paysage se révélait, tel un tableau que l'on nettoie ou un bâtiment que l'on restaure. Il pouvait voir la forme sous-jacente des choses. C'est celà qu'il voulait, avait-il tranché ; des moments de clarté et de silence. (p. 55)