Il n’y a pas un mais "des" temps modernes, des manières souvent différentes, parfois contradictoires, de penser le temps de la politique ou de l’art moderne en termes d‘avancée, de recul, de répétition, d’arrêt ou de chevauchement entre temps ; des manières différentes ou contradictoires d’agencer les temporalités des arts du mouvement, leurs continuités, leurs coupures, leurs accords et leurs reprises, pour produire des œuvres répondant aux conditions du présent et aux exigences de l’avenir.
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