Maisons, immeubles, routes et ponts... Le béton, issu de tonnes de sable patiemment crée par le passage du temps et de l'eau, et pillé si rapidement par les humains, retournait à son état d'origine. Inlassablement, le liquide frottait, râpait , concassait grâce au flux et au reflux. Bientôt il ne subsisterait rien des balafres léguées par les hommes. La Terre pansait ses plaies lentement, mais avec une pugnacité dont elle seule avait le secret.