La chambre est usée; il semble qu'on y soit déjà infiniment venu....le tapis laisse voir la corde : il a été piétiné, de jour en jour, par une foule.....le marbre de la cheminée s'est adouci aux angles. Au contact des hommes, les choses s'effacent, avec une lenteur désespérante. Elles s'obscurissent aussi. Peu à peu, le plafond s'est assombri comme un ciel d'orage.