Le lendemain, lorsqu’on me fit sortir de la cabane où nous avions couché pour me reconduire à Wattibi où je devais être mangé, ils me criaient ironiquement qu’ils viendraient bientôt chez mon maître pour s’enivrer et me manger ; mais celui-ci me consolait en me disant qu’on ne me tuerait pas encore de sitôt.