Un léger « Ti » sortit d’entre ses dents, le premier son du premier mot. Le doux souffle de « nu ». Voilà.
Il le sentit. Il leva la tête et plongea son regard dans le sien. Et, à ce moment précis, elle détourna les yeux.
Dans le monde de Safta, il y avait des sons, différentes strates de réalité, des distractions. Il y avait plus que Tinu.
Il y avait le soleil qui brillait de l’autre côté de la porte de la grange.
Le scintillement de la carrosserie d’une voiture qui approchait, entre les arbres.