COROLLE Ô FLEUR
(sur un ton faussement mallarméen)
Corolle ô fleur ton sourire
ouverte échappe des abeilles d’or
reviennent les soirs bruns ivres
Infante des jeux du sort
née la beauté aux arches de tes rives
nos yeux marée sur ton corps
enfante pour eux les perles de vivre
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