Mademoiselle Laurent nous enseignait la littérature de cette manière-là: elle mélangeait classiques, polars et romans jeunesse pour nous montrer qu'il ne faut pas créer des cloisons entre les genres, que la littérature, c'est avant tout la vie qui se déploie sur des pages blanches et qu'il ne faut pas placer les auteurs dans des tiroirs qui les enferment.