Les lecteurs sont de bien étranges créatures, répliqua-t-il. Ils s’abreuvent de sang, se délectent devant les pires atrocités que leur servent des thrillers à deux sous… tant qu’ils ne se sentent pas concernés. Mais vous, vous avez frappé là où ça fait mal, vous les confrontez à ce qu’ils repoussent sans cesse par tous les moyens. Leur propre mort, cette réalité du corps pourrissant. (p.33)