Que j’étais naïve…
Et encore, l’étendue de ma candeur s’étalait bien au-delà, car j’étais convaincue que, malgré tout, les choses redeviendraient comme avant.
Jusqu’à ce que je le rencontre.
Cet homme détestable qui m’a volé mon bonheur fantasmé.
Cet homme arrogant, dédaigneux, qui n’en avait rien à foutre de moi. De nous.
Cet homme qui ne nous a accordé aucun regard en nous dérobant la femme qui m’a donné naissance.