Il dit au revoir et traversa la cour, avec ses odeurs romantiques de paille et de foin, de crottin et de l’agréable puanteur des chevaux. Il lui semblait difficile de croire que l’année passée, à la même époque, il ait pu considérer une promenade en voiture l’après-midi comme un plaisir semi-annuel, ou presque, alors que maintenant il pouvait ordonner qu’on lui tienne prêt un cabriolet chaque fois qu’il en aurait envie.
Chapitre 10