Certains après-midis, au fond du jardin, sur la pente vers la rivière Bodrog, j'écrivais et je lisais des livres qu'il me prêtait: des romans, des poèmes.. Et tout me plaisait.
J'avalais chaque ligne, chaque page et je dévorais les volumes l'un après l'autre. Au coucher du soleil que j'aimais, j'écrivais dans mon cahier au crayon de bois.