Nombre de petites créatures continuent à aider les investigations médicolégales. En 2004, le Journal of Forensic Science signale qu'on peut reconstituer des profils ADN humains à partir des vers s'étant nourri du cadavre jusqu'à seize semaines après la mort: il serait donc possible d'établir l'identité d'une victime dont le corps aurait été détruit grâce aux vers qui lui survivaient.