De grands adolescents pesaient de tout leur poids sur ces bancs détestés, désormais trop petits pour eux, façonnés pour des corps plus petits. Le bois en avait déjŕ été creusé, incisé dans tous les sens par leurs canifs, de telle sorte qu'ils avaient véritablement fondu, ils étaient pręts ŕ s'écrouler, et, telles des cages brisées, ŕ libérer les oiseaux captifs qu'ils avaient pendant si longtemps privés de liberté. (p. 131)