Les sages ont coutume de dire : " Le monde est un rêve de Dragons " ; et je ne les contredirai pas. Ce que le rêve a de remarquable, c'est qu'il n'existe que tant qu'on est là pour le rêver, pour l'alimenter. Son existence est plus que précaire : sitôt le réveil : sitôt plus rien — sinon le souvenir.