Les objets extérieurs prennent des apparences monstrueuses. Les peintures du plafond, même médiocres ou mauvaises, prennent une vie effrayante. L’eau limpide et enchanteresse coule dans le gazon qui tremble. Les nymphes aux chairs éclatantes vous regardent avec de grands yeux plus limpides que l’eau et l’azur.
— Baudelaire a écrit des tas de conneries sur la peinture et la sculpture, juge Picasso.
— C’est vrai, confirme Apollinaire.
— Et toi aussi.
— N’exagérons rien.