Chapitre 3 :
Dayton
«… La belle se retourne, et je prends enfin le temps de m’attarder sur son cuir, si semblable aux autres, et en même temps si différent. Là, dans son dos, s’étale la plus ignoble des phrases :
« Propriété de Baxter ».
Putain de merde. C’est la régulière d’un type.
Je ne sais pas qui est ce Baxter mais, à ce moment-là, je me prends à le détester du plus profond de mon être. Parce que, d’un coup, mon joli coup de cœur ne se transformera jamais en bon coup d’un soir. Elle est prise et intouchable. … »