Rien, toutefois, ne le surprenait vraiment, car il se sentait trop heureux d’être là. La vallée qui s’éveillait dans les rayons obliques du soleil lui confirma, à l’instant où il sortit, qu’il était à sa place, ici, sur ce causse qui paraissait avoir été créé uniquement pour que l’on puisse, d’en bas, admirer cette sentinelle crayeuse qui soulignait le bleu magnifique du ciel. – p.81