Dans son livre End of Days: The Assassination of John F. Kennedy (2013), l'auteur James L. Swanson raconte que l'attorney général de l'époque (l'équivalent de notre ministre de la justice), Ramsey Clark, avait acquis la certitude que cette disparition était imputable à Robert Kennedy, le frère cadet du président et lui-même attorney général lors de l'attentat. Robert Kennedy et sa secrétaire, Angie Novello, aurraient dérobé ces échantillons biologiques, non pas pour dissimuler quelques sorbide complot, mais pour empêcher que des analyses toxicologiques ne révèlent l'importance des maux qui accablaient le président, ainsi que la quantité de médicaments qu'il devait prendre au quotidien pour être "fonctionnel".