Dans l’ombre du Gomchen, j’appris à ignorer la colère, la convoitise, le doute, l’agitation, le vagabondage de l’esprit. Je parvins même à maîtriser mes rêves… L’absence de rêve étant un signe de perfection mentale.
Après des semaines d’isolement, j’avais toujours plaisir à retrouver Aphur. Ensemble, nous traduisions des textes sur la vie des mystiques du Tibet.