Avant de commencer l’écriture de Cosi fan tutte, Wolfgang acheva un quintette pour clarinette et quatuor à cordes dont la beauté presque surnaturelle émut aux larmes Thamos et Anton Stadler. Enfin, le Grand Magicien mettait en pleine lumière cet instrument aux couleurs inimitables ! Dans l’allégro solennel et paisible, et surtout dans le larghetto dépouillé et profond, Mozart touchait au sublime, au centre du cercle tracé par le Grand Architecte de l’Univers.
Chapitre 13