Lorsqu'on se lance à l'assaut d'un sommet, l'attention est captée par l'effort, on ne pense à rien d'autre qu'à aligner les pas. Mais une fois parvenu sur la cime, la splendeur de l'horizon saute à la figure. Et toute cette beauté qui s'offre d'un coup, on la reçoit comme une récompense. On dirait que les paysages nous félicitent d'avoir enduré les peines de l'ascension. (p. 329)