"Si tout le monde était parfait, qu'aurions-nous à offrir à Dieu ?" écrit l'auteur pour qui le christianisme n'est pas une religion de purs, de parfaits, de bigots, mais le recours des blessés, des cabossés, des désespérés, puisque c'est notre misère, non le déploiement de nos efforts ou l'étalage de notre vertu, qui touche le cœur du Christ des évangiles. [p. 112]