Goddard pensa avec morosité au voyage de l’homme à travers cette petite lueur tremblotante située entre deux périodes de ténèbres ; un voyage que l’homme croyait naïvement bien planifié , en dépit du fait qu’il se déroulait dans un environnement imprévisible.(…) Nous sommes aux dieux ce que les mouches sont aux désœuvrés ; ils nous tuent pour le sport.