Ainsi Benvenuto Cellini est, avant tout, l'artiste épris d'idéal, esclave de son travail et maître en son art. Sa vieille affection pour Scozzone et son caprice naissant pour Colombe d'Estourville ne forment point le nœud de la pièce et ne sauraient fournir le prétexte d'un motif conducteur.