Moi, j’étais incapable de retrouver cette innocence enfantine, comme la plupart des adultes, surtout ceux qui ont souffert, à moins de m’enivrer dans les bars, les concerts ou les discothèques, je ne voyais pas d’autre alternative pour profiter vraiment du moment présent. Mais l’ivresse n’est pas la réalité, c’est juste un aveu de faiblesse. Au fond de nous, on sait bien que nous sommes incapables de lâcher prise avec des inconnus autrement.