Le travail de la canne était plus fatigant que celui du coprah. Regarder devant soi. Abattre le coupe-coupe, oublier la douleur dans le bras, les ampoules aux mains, les poignets enflés, le dos en bouillie. Jeter la canne derrière soi, avancer d’un pas. Les feuilles étaient tranchantes et lui cinglaient les jambes sous sa jupe. (page 333)