Camille à Charles Thierry (10 mars 1913)
(...) Le pauvre papa ne m'a jamais vue telle que je suis ; on lui a toujours fait croire que j'étais une créature odieuse, ingrate et méchante ; c'était nécessaire pour que l'autre (Louise sa soeur) puisse tout gratter.(...)
Louise a mis la main sur tout l'argent de la famille par la protection de son ami Rodin ...