En la matière, les frontières du somatique et du psychique ne sauraient d'ailleurs être trop fermement définies. Car cet être de chair, de sang et d'os qu'est le combattant est aussi un individu suraffecté; un homme travaillé par d'ardentes passions, en proie également à des pulsions souveraines et à des émotions paroxystiques. Ce qui, dès lors, interdit de réduire le corps combattant à ses seules réactions physiologiques aux risques environnants.