Tel était son état d'esprit quand il s'est enfermé dans cette pièce sombre et enfumée au début de l'été 1940.
Face à la toile blanche terrifiante, les mains des autres tremblaient.
Churchill, lui, plongea, empoigna son pinceau et appliqua sa versin des évènements, vive romantique, à coups de pinceaux vigoureux.
Et voilà, AMIGOS, telle sera mon ultime réplique, à tous ceux qui ont des doutes et des réserves sur Churchill.