Quelquefois, je le regard jouer avec Harry ou travailler au jardin, et je pense : "Voilà, c'est lui. C'est le garçon que j'ai attendu toute ma vie." Et puis, une autre petite voix me dit de ne pas trop m'y habituer, que je n'en souffrirai plus tard que d'avantage. C'est drôle. On est conscient de cette formidable chance qu'on a, et en même temps on s'attend a ce que tout finisse du jour au lendemain...