Autrefois, les malandrins hésitaient à faire main basse sur les oeuvres sacrées. Ils craignaient qu'elles ne leur portent malheur. Un quelconque saint Roch qu'on invoque contre les maladies contagieuses était bien capable de fiche la vérole à son ravisseur. Désormais, plus aucun voleur n'y croyait, pour la bonne raison que les croyants eux-mêmes, pour ce qu'il en reste, n'y croient plus non plus.