De tous les artistes qui ont peint le Paris que j'adorais, aucun ne m'évouvait plus que Maurice Utrillo. Son trait était direct, et ne limitait pourtant jamais à la simple retranscription des formes et des dimensions. Totalement fidèle d'une certaine manière, il communiquait au spectateur l'affection que seul un ingénu romantique pouvait éprouver pour ses sujets d'inspiration. Je nourrissais une sorte d'engouement pour la manière dont Utrillo rendait les marches que je grimpais et les murs que j'aimais toucher. (p. 122)