Vous Fleuves et Ruisseaux, et vous, claires Fontaines,
De qui le glissant pas
Se roule, roule en bas,
Dites-moi la raison de vos tant longues peines ?
C’est pour montrer au doigt que ta vie en ce Monde
S’enfuit ainsi que l’onde,
Et ta félicité
Ne s’arrête ici-bas, où rien n’est arrêté.