La plupart des ecclésiastiques s'étaient ralliés au gouvernement de Staline. Pour eux, l'avenir de l’Église était lié à celui de l’État, fut-il soviétique. La tâche de l’Église devait donc consister à propager non seulement la foi en Dieu, mais encore le principe de la soumission aux pouvoirs établis. (...) Le symbole qui couronna cette politique fut l'introduction dans le service religieux d'une prière pour le gouvernement soviétique.