A la longue, il marqua une préférence pour certains films.
Il repassait sans cesse Blade Runner de Ridley Scott, fasciné par la carrure puissante de Rutger Hauer qui, dans le rôle du chef des androïdes, se rebellait contre son créateur humain et l’embrassait pour mieux lui broyer le crâne. Le craquement des os, le regard glacial de Hauer provoquaient immanquablement chez Armand un long rire, presque gamin.