Vous savez, ce n'est pas tant le sang qui est important, bien que cette substance soit une jouissance des plus extraordinaires que l'on puisse désirer; c'est l'intimité de ce moment - boire, tuer -, ce délicieux cœur à cœur que l'on danse tandis que la victime défaille et que l'on se gorge de la mort qui, pour une fraction de seconde, resplendit autant que la vie.