Enfin pour combattre les envieux à venir, dont la Providence n’aurait peut-être pas eu le loisir de le débarrasser comme elle avait fait de mynheer Isaac Boxtel, il écrivit au-dessus de sa porte ce vers, que Grotius avait gravé, le jour de sa fuite,
sur le mur de sa prison :
"On a quelquefois assez souffert pour avoir le droit de ne jamais dire:
Je suis trop heureux."