Le testament de Cornélius van Baerle
Rosa ne s'était point trompée. Les juges vinrent le lendemain au Buytenhoff, et interrogèrent Cornélius van Baerle. Au reste, l'interrogatoire ne fut pas long ; il fut avéré que Cornélius avait gardé chez lui cette correspondance fatale des de Witt avec la France. Il ne le nia point.