N’y a t il pas entre le lion et l’impala le rapport secret et morbide qui unit, chez les humains, le bourreau et sa victime ?...Nous avons photographié beaucoup d’animaux qui, pris à la gorge par le lion, laissent leur tête pendante, les yeux révulsés, avec tous les signes de la mort. Certes, exagérée, on croit voir ici, une fois encore, une condition humaine fréquente à notre époque de persécutions politiques et sociales, de bourreaux et de victimes, de stress et de refus de vivre.