Zina, tu es en moi jusqu’au dernier repli de mon âme. C’est ainsi et je n’y peux rien. Je me demande de quoi sont faites tes journées. Et je maudis, chaque jour, les fauteurs de guerre qui nous ont arrachés l’un à l’autre. Il est temps de me séparer de toi car comme dans la chanson de l’ami Pierrot que l’on chantait sur nos chemins de chèvres, ma chandelle est morte, je n’ai plus de feu.