Si j'ai souscrit au monument commémoratif de Pouchet, je vous l'ai déjà dit, ce n'est absolument pas pour soulager ma conscience. Si je m'opposais au savant, je respectais l'homme. Si je m'opposais à ses idées, je respectais sa ténacité. Il n'y a pas de beau combat sans valeureux adversaire. Sans sa pugnacité, je n'aurais sans doute pas imaginé les flacons à col de cygne et bien d'autres méthodes expérimentales !