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Les Contes interdits



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Dernières critiques
Les Contes interdits : La bête du Gévaudan

Le style narratif m’a perturbé. Le narrateur parle quasiment tout le livre à Kevin, nous n’avons donc pas accès au ressenti de ce dernier. Les chapitres sont très courts et l’histoire intéressante. Mais c’est pour moi une lecture mitigée.
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Les Contes interdits : Bambi

Honnêtement j’en garde une fois de plus un souvenir mitigé. Le début reste très long pour un récit aussi court, tout comme la fin est trop rapide.



L’histoire est finalement tirée par les cheveux, ça part un peu dans tous les sens sans que ça n’apporte une réelle plus-value.



La construction de l’histoire n’est pas la meilleure à mes yeux, elle aurait pu être mieux équilibrée.



Cependant, c’est un récit assez immersif, on est plongé dans l’histoire assez rapidement, on s’imagine bien les scènes. ⚠ toutefois, les descriptions sont assez explicites.
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Les Contes interdits : Casse-Noisette

🚨 Ce roman s'adresse à un public averti, il contient des scènes de torture, de violences et de viol 🚨



Ⓡⓔⓢⓤⓜⓔ

Le roi des souris est un tueur en série qui s'en prend particulièrement aux prostituées portant le prénom de Marie.

Pour l'appréhender la police doit compter sur Dross qui est alcoolique et dont l'état d'esprit est puant. Son supérieur lui adjoint un coéquipier, Patrick Lessard. Mais chacun va faire ses recherches de son côté. D'autant que Dross souhaite retrouver et protéger sa nièce qui est en danger.



Ⓐⓥⓘⓢ

Dès les premières pages, Sylvain Johnson tape fort. Et ce n'est qu'un aperçu de ce qui va se dérouler dans ce livre. Parce que oui des scènes gores voire difficilement soutenables pour moi sont bien présentes dans ce conte.



Mais ce n'est pas un agglomérat d'horreurs. L'intrigue est travaillée et prenante. Il y a toute une construction et je n'ai compris le fin mot de l'histoire que dans les dernières pages.



Les personnages sont détestables pour une grande partie et cachent des histoires encore plus monstrueuses.



J'ai apprécié les clins d'œil de l'auteur à d'autres contes sont la petite sirène qu'il a déjà réécrite. Les noms des personnages peuvent aussi parfois créer des jeux de mots qui m'ont fait sourire.



Je ne connaissais pas beaucoup le conte original mais suivant le résumé que j'ai lu, on retrouve les ingrédients principaux.



Un très bon conte pour ceux qui aiment ce style.

Ames sensibles, il faut vraiment s'abstenir !
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Les Contes interdits : Blanche Neige

On m'avait conseillé Les Contes Interdits comme étant une bonne série de livres d'horreur, avec un concept original de revisite de contes traditionnels dans un contexte moderne et effrayant. Malheureusement, ce n'est pas ce que j'ai trouvé dans les deux ouvrages que j'ai lus de cette série, et je ne pense donc pas aller plus loin.



Je suis habituellement plutôt bon public même avec les styles les plus surprenants, mais la lecture de ce Blanche-Neige m'a été particulièrement pénible. Je n'ai pas lu d'autre livre du même auteur, donc j'ignore s'il s'agissait d'un effet de style volontaire... En toute honnêteté, le style d'écriture ne me convenait pas du tout, et m'a rendu la lecture inutilement laborieuse. Cela n'avait rien à voir avec l'utilisation de mots et tournures de phrases propres au français québécois - ayant vécu dans ces belles contrées j'ai plutôt été ravie de retrouver ce parler. Non, il s'agissait plutôt d'une lourdeur dans le style : les choix des temps pour la conjugaison des verbes, les étrangetés dans la narration, les phrases à l'allure et à la composition étranges... Cela rendait la lecture plus complexe, plus laborieuse... C'était peut-être un objectif de l'auteur, comme l'était par exemple une subtilité des descriptions qui m'a frustrée pendant la moitié du livre jusqu'à ce que la narration explique (enfin !) pour quelle raison ce type d'information était toujours manquant. Mais même en imaginant que ce soit le cas, ce style a été mon principal obstacle à l'appréciation de ma lecture. Avec cet important biais, je ne saurais malheureusement juger l'histoire avec objectivité...
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Les Contes interdits : Blanche Neige

Émilie n'a aucune idée de ce qu'elle fait prisonnière à Fort Orée, institut pour criminelles mentalement atteintes.

Sans que l'idée ne soit originale, j'étais plutôt curieuse de ce que ce préambule pouvait apporter à la réécriture du conte de Blanche Neige.

Sauf que, nous sommes au sein de la collection des Contes interdits, et que la première scène de viol ne se fait pas attendre.

Après avoir été violée par l’horrible directeur, Thomas, un infirmier bienveillant, vient en aide à Émilie en lui proposant un plan de sauvetage totalement aberrant, qui foire bien évidemment. Cet échec est ainsi l’occasion de proposer une scène combo de double viol.

Sauf que², en fait, le plan de Thomas marche quand même un peu (et toc) et cela permet à notre Émilie/Blanche-Neige de s'échapper, direction la forêt.

Sauf que³, une fois à l'abri, le premier réflexe d’Émilie est de… jouer avec ses lèvres inférieures. J'sais pas. Dans le doute, peut-être qu'elle cherchait à faire du feu ?

Dans tous les cas, nous en sommes à la moitié du bouquin, et j’en ai marre.

Autant être directe : le scénario pensé par Louis-Pier Sicard fait autant de sens que celui d'un film de cul, avec la même volonté de se concentrer sur des gros plans d’organes génitaux entre deux scènes fillers mal-pensées et mal-foutues.

Et encore, je ne voudrais pas être insultante envers la pornographie qui revêt, elle, parfois, un caractère subversif dont l'œuvre ici présente est totalement dénuée, crasse de complaisance.
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Les contes interdits : Peter Pan

Hook, un flic avec un crochet à la place de la main doit mener l’enquête sur la disparition des trois enfants adoptés par son ex : Wendy, Jean-Philippe et Michaël. Aux dernières nouvelles, les deux derniers traînaient dans le deal de cannabis. Au même moment, une nouvelle drogue étrange, la poussière, semble pousser ses consommateurs au suicide.

Peter Pan de Simon Rousseau est une réinterprétation réussie (bien que convenue dans son enquête), ne manquant pas de surprises dans le traitement des personnages originaux.
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Les Contes interdits : Les 3 p'tits cochons

Peter est un beau gosse musclé faisant durcir les mamelons de ces dames dès qu’il entre dans une pièce. La moindre interaction semble ici calibrée pour ressembler à une intro de porno, dégoulinant de vulgarité improbable. Bon sang que c’est edgy, comme si un ado en rut était aux commandes.

Il ne s’agit pas d’une adaptation horrifique, mais érotique, qui m'a profondément ennuyée.

Une manière, de bas étage, de réserver le récit aux adultes.
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Les Contes interdits : La bête du Gévaudan

J’apprécie beaucoup la Légende de la Bête du Gévaudan et je suis partie avec l’idée que cette lecture serait plutôt sanglante, bestiale et sauvage … et j’ai été surprise ! Dans le bon sens clairement.



Ici le narrateur accompagne Kévin, un adolescent un peu maladroit, à la vie médiocre, un père alcoolique et une mère dépressive. On se pose un millier de questions sur l’identité du narrateur, et Kévin aussi d’ailleurs, qui vient jusqu’à douter de sa santé mentale. On retrouve ce côté sanglant, brutal, avec des détails propres aux Contes Interdits, mais que j’ai quand même trouvé moins hard que d’autres qui m’ont donné des hauts-de-coeurs. Ici, c’est surtout l’ambiance qui s’installe au fil du roman qui est pesante, intrigante : on veut savoir qui est cette fameuse Bête ! On se demande jusqu’où elle ira et j’ai fait facilement le lien avec l’horreur grandissante de la population du Gévaudan lors des attaques de 1764.



Autre détail qui m’a surprise, la durée des (nombreux) chapitres. Sur liseuse, chaque chapitre faisait 2 minutes, facilitant le “encore un chapitre et au lit”, mais au final je l’ai lu d’une traite en 2 heures.



J’ai trouvé le twist unique, je n’ai que très rarement vu cela et j’ai beaucoup aimé ne pas avoir l’explication/révélation bateau à laquelle on pourrait s’attendre sur un conte qui revisite ce mythe.
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