Même en attrapant la balle au bond en commençant par ce deuxième opus, pas trop difficile de suivre les aventures de “La Sainte déchue et son fervent Protecteur”. Le titre étant suffisamment indicateur, tout en laissant de la marge au scénario de Sora Hinokage. Le contexte de Fantasy laisse le champ libre à tout, notamment une romance entre les deux personnages principaux. Mais ça serait beaucoup trop simple... Chassée de son pays natal pour usurpation dans le premier tome, Fréméa ne sait que penser quand son ancien fiancé vient lui demander de revenir à Justitia pour sauver la population d’une épidémie qui fait des ravages.



Ne l’a-t-on pas accusée de s’être fait passer pour la prophétique Sainte dont l’incarnation ne réapparaît que tous les cent ans ? N’a-t-on pas estimé que ses prières ne guérissaient personne ?



Ce deuxième tome est donc axé sur la personnalité de chacun et son rôle dans la société, en commençant par la réponse de Fréméa face à cette requête inattendue. Une Sainte, notamment, guérit et protège le peuple de la région où elle vit. C’est donc une mission expéditive qu’elle effectue à Justicia, pour revenir à Euréas aussi vite. D’autant qu’une nouvelle menace place et que ses pouvoirs seront bien utiles, ainsi que la puissance de Roland, son chevalier. Un scénario qui pourrait bien perdre le lecteur s’il n’y prend pas garde car : pourquoi accepter de retourner à Justicia l’espace de quelques pages ? Une façon de clore le chapitre dans ce royaume pour reprendre le cours de sa nouvelle vie ailleurs ? Était-ce utile ou juste une façon de rendre justice à notre héroïne... bizarre. Mais chaque rebondissements donne matière à s’interroger, alors on suit l’histoire en essayant de comprendre les mystères autour de ce duo.



Qui est réellement Roland ? Pourquoi des Démons en voudrait à la Sainte ? Espérons que le fil conducteur sera plus clair par la suite.



D’autant que le graphisme d’Akeko Suzu est fort plaisant. Propice à la romance digne d’un shôjô avec des cœurs battant la chamade et des rougissements intempestifs, mais aussi dynamique dans l’action et mâtiné d’ombres quand les secrets semblent prêts à être révélés... ou pas. Affaire à suivre.
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Je suis toujours aussi fan des dessins et surtout du design de Fréméa et de Roland. Les vêtements, les coiffures, les décors, tout ces dessins sont trop jolis. La sainte et son protecteur forment un duo mignon qui laisse présager une belle petite romance.

Par contre, au niveau de l'intrigue, l'histoire avance plutôt vite ce qui ne laisse pas beaucoup le temps de l'apprécier et d'en apprendre plus sur l'univers et les personnages. J'ai l'impression qu'on ne fait que survoler l'histoire, que ça manque de richesse et de consistance. Il n'y a pour le moment rien de très original.

J'ai trouvé ce manga mignonnet. Pour un seinen, l'histoire est gentillette et aurait pu être un peu plus corsée.

On sent la petite histoire d'amour qui se profile avec le petit secret du protecteur.

Mais bon ça se lit bien, les dessins sont bien lisibles. Donc pourquoi pas ?

L’intrigue, bien que pas particulièrement innovante, n’en reste pas moins très sympathique. Dans ce monde de fantasy, Fréméa est une jeune femme élue “sainte” et dotée d’incroyables pouvoir de guérisons. Pourtant, malgré l’importance que ce statut lui procure, elle n’en reste pas moins née paysanne et cela ne plait pas à la royauté.



En effet, la marque de la sainte, bien qu'à l’origine ayant un rapport avec la lignée royale, n’est pas héréditaire. Au coeur d’un complot visant à la nuire, Fréméa se retrouve chassée de la cours et destituée de son rôle.



J’ai eu beaucoup de peine pour elle. Ayant été arrachée à sa vie d’avant et conduite au palais lorsqu’elle était enfant, elle se retrouve jetée à la rue comme une usurpatrice, laissant derrière elle tout ce qu’elle a connu.



À partir de ce moment là, Fréméa change. Elle apprend à vivre une vie plus ordinaire, loin du protocole et des règles qu’elle devait respecter. On se rend compte que c’est une jeune femme dont l’enfance a été retirée de force. Elle s'émerveille de tout et garde une certaine naïveté attachante.



On en apprend également plus sur la vie de Roland et le passé qui le lie à Fréméa. Sa loyauté et son attachement envers elle est tout simplement adorable ! On apprend également qu’il est bien plus que ce qu’il laisse paraître et ça m’intrigue beaucoup.



Une premier tome intéressant qui, même s’il n’est pas très original, n’en reste pas moins sympathique. De plus, j’aime beaucoup le style de dessin !
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La Sainte déchue et son fervent protecteur est un manga plus dur qu’il n’y paraît au premier abord. En effet, Fréméa est enlevée à sa famille à l’âge de 10 ans car elle est l’élue de Dieu. La famille royale la prend sous son aile pour l’éduquer comme il se doit. À partir de ce moment, tous ses faits et gestes seront contrôlés à la lettre.



Malheureusement, malgré ses bonnes actions, son sang sera jugé indigne par des hauts placés et un complot éclatera à son encontre. Elle va donc se retrouver jugée comme étant une usurpatrice et mise à la rue du jour au lendemain. Heureusement, son chevalier protecteur restera à ses côtés pour l’accompagner dans cette nouvelle vie. Et vous risquez vite de vous attacher à ce duo.



Si vous cherchez une lecture douce et bienveillante avec une pointe d’injustice et de fourberie, le tout dans un univers fantastique alors je vous conseille vivement cette lecture !
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J'ai tout de suite été séduite par la couverture et les dessins sans vraiment savoir à quoi m'attendre au niveau de l'histoire à part qu'il s'agit principalement d'une romance.



La lecture est assez légère, ce premier tome pose clairement les bases d'événements qui vont, je pense, rapidement mal tourner. Enfin je l'espère !



Frémea est pleine de bonnes attentions et adorable, à voir si elle va s'endurcir au fil de l'histoire et réussir à s'affirmer.



Roland est très mystérieux, il semble cacher beaucoup de choses à sa protégée mais œuvre toujours pour son bien.

J'ai hâte de découvrir la suite, j'en attends beaucoup et j'espère ne pas être déçue.

Voici un nouveau manga qui fait penser à un conte de fée. Enfin, pour le départ.



Fremea a reçu un don lors de son enfance: grâce à ses prières, elle peut guérir n’importe qui. Mais cela ne plaît pas à tous, notamment à la princesse de son royaume qui l’envie.



Lorsque la rumeur qui dit qu’elle est une usurpatrice se répand, Fremea est bannie. Heureusement, Roland, son protecteur, part avec elle.



C’est une belle histoire que nous propose ce manga, avec un peu de piquant: jalousie, magie, jeu de pouvoir. Nous voyons la romance arriver mais elle n’est pas le centre de l’histoire.



Adapté pour les plus jeunes lecteurs, ce manga Shojo est une nouvelle série qui régalera les fans de ce genre.