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Critique de Mero


Je suis content d'avoir connu la saga Harry Potter avant que son auteure JK Rowling devienne une dégénérée pathétique, désireuse de salir l'oeuvre qui lui a donné son succès.

J'ai ressenti la même émotion qu'autrefois en finissant le dernier chapitre. Harry serrant dans ses bras son fils, dissipant toutes ses craintes quant à la décision du Choixpeau magique sous l'oeil protecteur de sa mère Ginny.
Une fin où tout finit bien et qui fait du bien. On se remémore les délices de Bertie Crochue à bord du Poudlard Express, on s'imagine à nouveau le confort de la salle commune des Gryffondor, les boiseries raffinées du château et le vaste domaine où se sont déroulées tellement d'aventures.

Pour moi c'est avant tout dans ce lieu que s'opère la magie. J'en ai vraiment été convaincu lorsque j'ai regardé les films dont les scenarii ont été écrits par l'auteure elle même : Les animaux fantastiques et Les crimes de Grindelwald. Malgré les clins d'oeil à Poudlard, le charme n'opère plus car ce n'est pas cohérent avec l'âge que sont censés avoir les protagonistes.

Elle se sert aujourd'hui de l'univers HP pour servir de la soupe idéologique à ses fans sur les réseaux sociaux quitte à les insulter, se réjouir de les voir s'intoxiquer avec ses livres brûlés. Elle agit comme la véritable caricature de la progressiste moralisatrice 2.0 absolument imbuvable.

Quand elle finit de décuver, elle remodèle l'histoire pour allonger quelques billets. Un exemple frappantde sa mauvaise foi ; Hermione dont elle nous dit qu'elle a toujours été noire alors qu'elle a écrit le contraire dans son livre.
Elle aurait très bien pu dire qu'elle trouvait l'actrice noire bonne pour lui donner le rôle de sa pièce de théâtre, mais non, il faut qu'elle continue de nous étaler sa propagande en traitant tous ceux qui lui disent le contraire de racistes.

Pareil pour les délires sexuels qu'elle imagine entre Dumbledore et Grindelwald. La communauté gay qu'elle tente de ramener à sa cause se rend compte qu'elle délire complètement avec ses provocations sur Twitter qui n'apparaissent pas dans le film.

Faites ce que je dis, mais pas ce que je fais.
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