>
Critique de NorbertleManchot
Je ne sais pas quoi penser de ce manga que j'avais hâte de découvrir. Avec sa couverture colorée et une promesse de cynisme : tout pouvait arriver, du meurtre le plus glauque à la comédie absurde !
En fin de compte, c'est la seconde qui l'emporte dans cette succession d'épisodes où le fameux Uramichi anime, flanqué d'une bande d'acolytes qui ne valent pas mieux que lui, l'encart sportif d'une émission pour les petits. Les joyeuses activités sont parsemées de ses commentaires déprimants, réflexions pessimistes et autres moments de honte publique qui parviennent parfois même à attaquer la bonne humeur des petits enfants participant au show avec lui. En bref, Uramichi en aurait gros sur la patate... s'il n'avait pas déjà perdu toute volonté de vivre.
Une belle brochette de trentenaires ratés et même pas potes forcée à faire un travail à la noix pour ne pas mourir de faim ? On devine vite que le but est de se reconnaître et de rire de l'écart entre ces adultes désespérés et l'univers enfantin où ils évoluent au quotidien (et sans jour de congé !)
Là où ce premier tome pêche, c'est par le côté répétitif des chapitres, qui suivent la même construction comique et ne sont probablement pas destinés à être lus à la suite. Pas de fil conducteur pour l'instant non plus ! C'est donc mon attachement au sale type qui donne son nom à la série qui me fera continuer et attendre de voir s'il lui arrive une aventure ou une évolution quelconque au prochain tome ! Tiens bon, Uramichi !
En fin de compte, c'est la seconde qui l'emporte dans cette succession d'épisodes où le fameux Uramichi anime, flanqué d'une bande d'acolytes qui ne valent pas mieux que lui, l'encart sportif d'une émission pour les petits. Les joyeuses activités sont parsemées de ses commentaires déprimants, réflexions pessimistes et autres moments de honte publique qui parviennent parfois même à attaquer la bonne humeur des petits enfants participant au show avec lui. En bref, Uramichi en aurait gros sur la patate... s'il n'avait pas déjà perdu toute volonté de vivre.
Une belle brochette de trentenaires ratés et même pas potes forcée à faire un travail à la noix pour ne pas mourir de faim ? On devine vite que le but est de se reconnaître et de rire de l'écart entre ces adultes désespérés et l'univers enfantin où ils évoluent au quotidien (et sans jour de congé !)
Là où ce premier tome pêche, c'est par le côté répétitif des chapitres, qui suivent la même construction comique et ne sont probablement pas destinés à être lus à la suite. Pas de fil conducteur pour l'instant non plus ! C'est donc mon attachement au sale type qui donne son nom à la série qui me fera continuer et attendre de voir s'il lui arrive une aventure ou une évolution quelconque au prochain tome ! Tiens bon, Uramichi !
