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Critique de Kyokoandbooks
Bienvenue à Fogas! Dans ce petit village perché à flan de montagne, la vie s'écoule paisiblement, entre deux séances de potins échangés au comptoir de Josette.
Mais rien ne va plus, car on vient d'apprendre que l'auberge avait été vendue. C'est un drame pour le village, de plus en plus phagocyté par les résidences secondaires, et qui a déjà perdu bon nombre de jeunes en quête de travail au profit de la ville. Alors savoir qu'en plus, la seule auberge locale va faire faillite... C'est évident, puisque les nouveaux propriétaires sont anglais! Et c'est bien connu, les anglais et la cuisine...
Alors plus de temps à perdre pour sauver l'auberge et le village: sus à l'envahisseur, c'est le branle bas de combat à Fogas!
Et bien je ne vais pas faire de faux suspens: j'avais lu des avis mitigés, et je ne les partage pas du tout: j'ai adoré ma lecture!
J'ai retrouvé avec plaisir la plume de Julia Chapman. Et si cette fois, elle ne tue pas la moitié du village comme dans les détectives du Yorkshire (qu'il faudrait vraiment que je reprenne, d'ailleurs!), en revanche elle a toujours le même talent pour ce qui est de construire et faire vivre une communauté villageoise vivante et attachante.
Je me suis beaucoup attachée à ces personnages, français comme anglais, roublards comme naïfs. Je me sentais vraiment investie dans cette petite communauté, et j'ai trouvé l'histoire somme toute assez crédible, mais aussi pleine d'humour, de tendresse, d'intrigues... un mélange très réussi à mon goût! Rien de trop, juste le nécessaire!
Le jeu sur les clichés entre français et anglais est plutôt sympathique, et on voit que Julia Chapman a vécu en France, car je n'ai relevé qu'une seule incohérence à ce roman se déroulant chez nous (à propos des retraités qui ne peuvent plus aller chercher leur pension à la Poste chaque semaine).
Et ce n'est pas parce qu'il n'y a pas de crimes qu'il ne se passe rien! Entre le petit café et la boutique de Josette, entre l'auberge et la salle du conseil municipal, bien des plans et des stratagèmes vont être imaginés pour aider ou au contraire mettre des bâtons dans les roues de Paul et Lorna! Réussiront-ils à ouvrir leur auberge ou la vindicte populaire aura-t-elle raison de leur bonne volonté? Quel camp aura le dernier mot? le suspens n'est pas insoutenable, mais le récit est tout de même bien rythmé et a suffit à me captiver!
Complètement convaincue par le premier tome de cette chronique villageoise, ce sera un grand plaisir pour moi de retourner à Fogas pour le prochain tome!
Mais rien ne va plus, car on vient d'apprendre que l'auberge avait été vendue. C'est un drame pour le village, de plus en plus phagocyté par les résidences secondaires, et qui a déjà perdu bon nombre de jeunes en quête de travail au profit de la ville. Alors savoir qu'en plus, la seule auberge locale va faire faillite... C'est évident, puisque les nouveaux propriétaires sont anglais! Et c'est bien connu, les anglais et la cuisine...
Alors plus de temps à perdre pour sauver l'auberge et le village: sus à l'envahisseur, c'est le branle bas de combat à Fogas!
Et bien je ne vais pas faire de faux suspens: j'avais lu des avis mitigés, et je ne les partage pas du tout: j'ai adoré ma lecture!
J'ai retrouvé avec plaisir la plume de Julia Chapman. Et si cette fois, elle ne tue pas la moitié du village comme dans les détectives du Yorkshire (qu'il faudrait vraiment que je reprenne, d'ailleurs!), en revanche elle a toujours le même talent pour ce qui est de construire et faire vivre une communauté villageoise vivante et attachante.
Je me suis beaucoup attachée à ces personnages, français comme anglais, roublards comme naïfs. Je me sentais vraiment investie dans cette petite communauté, et j'ai trouvé l'histoire somme toute assez crédible, mais aussi pleine d'humour, de tendresse, d'intrigues... un mélange très réussi à mon goût! Rien de trop, juste le nécessaire!
Le jeu sur les clichés entre français et anglais est plutôt sympathique, et on voit que Julia Chapman a vécu en France, car je n'ai relevé qu'une seule incohérence à ce roman se déroulant chez nous (à propos des retraités qui ne peuvent plus aller chercher leur pension à la Poste chaque semaine).
Et ce n'est pas parce qu'il n'y a pas de crimes qu'il ne se passe rien! Entre le petit café et la boutique de Josette, entre l'auberge et la salle du conseil municipal, bien des plans et des stratagèmes vont être imaginés pour aider ou au contraire mettre des bâtons dans les roues de Paul et Lorna! Réussiront-ils à ouvrir leur auberge ou la vindicte populaire aura-t-elle raison de leur bonne volonté? Quel camp aura le dernier mot? le suspens n'est pas insoutenable, mais le récit est tout de même bien rythmé et a suffit à me captiver!
Complètement convaincue par le premier tome de cette chronique villageoise, ce sera un grand plaisir pour moi de retourner à Fogas pour le prochain tome!
