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Critique de Makkeza
...Quand les larmes auront séché, que restera-t-il ?
Non, plus sérieusement, ce bouquin fait partie de mes romans préférés. Ça fait deux mois que je l'ai lu, et ça fait deux mois qu'il m'habite.
Une histoire d'amour, de désir, de poésie hors du temps avec un personnage principal aussi fascinant que touchant. C'est cru, c'est beau, c'est intime, mais pas sale. Surtout pas sale.
C'est intime, comme une confidence.
Intime comme nos émotions à l'état brut peuvent émaner de nous.
Intime, parce que je crois que je suis un peu Elio, parfois. (Du moins, j'ai déjà été un peu Elio.)
Et juste ça, juste le fait d'écrire la brutalité des sentiments, sans les censurer, juste les dire sans en entacher leur force par des phrases convenues, ça m'a plu.
Mieux, ça m'a parlé, ça m'a eue, ça m'a attrapée, ça m'a hantée.
Une oeuvre magistrale, réellement ; et j'ai envie de pleurer rien qu'en y repensant.
« La jeunesse ne connaît pas la honte. La honte vient avec l'âge. »
Non, plus sérieusement, ce bouquin fait partie de mes romans préférés. Ça fait deux mois que je l'ai lu, et ça fait deux mois qu'il m'habite.
Une histoire d'amour, de désir, de poésie hors du temps avec un personnage principal aussi fascinant que touchant. C'est cru, c'est beau, c'est intime, mais pas sale. Surtout pas sale.
C'est intime, comme une confidence.
Intime comme nos émotions à l'état brut peuvent émaner de nous.
Intime, parce que je crois que je suis un peu Elio, parfois. (Du moins, j'ai déjà été un peu Elio.)
Et juste ça, juste le fait d'écrire la brutalité des sentiments, sans les censurer, juste les dire sans en entacher leur force par des phrases convenues, ça m'a plu.
Mieux, ça m'a parlé, ça m'a eue, ça m'a attrapée, ça m'a hantée.
Une oeuvre magistrale, réellement ; et j'ai envie de pleurer rien qu'en y repensant.
« La jeunesse ne connaît pas la honte. La honte vient avec l'âge. »
