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Critiques de Olivier Weber (105)
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L'enchantement du monde

De la famille Bellini, peintres vénitiens de la Renaissance, l'histoire a surtout conservé le prénom de Giovanni. Son ainé Gentile a néanmoins été peintre officiel du Doge et fut assez téméraire pour partir vers Constantinople, afin d'y produire un portrait du sultan Mehmed II, le conquérant de la ville en 1453.



C'est dans ce contexte de tensions diplomatiques qu'Olivier Weber situe la trame de son roman, entre aventures romanesques et réalité historique. La chute de l'empire byzantin a déséquilibré le monde chrétien. Et la paix signée entre Venise et l'Empire Ottoman est fragile. L'invitation du sultan turc est d'autant plus inédite que la représentation de l'homme est interdite en terre d'Islam. Mais le sultan est vainqueur, érudit et éclairé, et se voit comme un nouveau conquérant. Il veut donc poser pour la postérité.



Le lecteur est entraîné dans la Venise du 15ème siècle, cité où se côtoient des peuples de toutes origines méditerranéennes, puis dans les palais à moucharabieh et odalisques, où intrigues, complots de janissaires, et fanatiques religieux font une sarabande de dangers et de violence. L'auteur transcende par son écriture imagée et poétique la beauté de la ville lacustre comme celle de l'orientale Istanbul, cité de tolérance refuge des juifs européens persécutés.



Un livre qui, en nous faisant découvrir un portrait magnifique de grand dignitaire, se positionne comme un beau message de tolérance religieuse et d'humanisme.

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Frontières

Récit d'une grande richesse mêlant les expériences et les rencontres d'un grand reporter-écrivain-voyageur, des retours éclairés sur des périodes de l'histoire, des citations de grands écrivains ou poètes dont les écrits ont accompagné l'auteur, des portraits d'autres grands voyageurs, pour livrer un état des lieux des frontières physiques ou virtuelles, conquises ou imposées, en compagnie de trafiquants de toute sortes, de migrants, d'humanitaires, de grands chefs tribaux, d'hommes et de femmes qui vivent dans ces zones incertaines et fluctuantes, zones de conflits, souvent hostiles et dangereuses, des contrées où sévit le chaos et la loi de la jungle : au Moyen-Orient, en Amazonie, en Afrique du Nord et en Europe. Un fabuleux et instructif voyage, à la rencontre de l'autre et une magnifique odyssée littéraire.
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L'enchantement du monde

Un superbe roman traitant de tolérance, de rapprochement entre les peuples d'Orient et d'Occident, de despotisme ainsi que la découverte d'une civilisation, et, de la cour du sultan Mehmet II.

Celle-ci est centrée autour d'un seul homme - Mehmet II - ayant le pouvoir de vie et de mort sur tout un peuple, qu'il appartienne ou non à sa cour.



Centrée autour d'un fait historique avéré - le séjour du peintre Gentile Bellini à Istanbul - c'est l'occasion pour l'auteur de développer ses idées tout en démontrant que les individus - quelque soient leurs religions - peuvent vivre ensemble.



C'est également un fervent plaidoyer contre le fanatisme et l'intolérance en général.



En ce qui me concerne, j'ai littéralement dévoré ce roman, au point d'en oublier télé, internet, de dormir, et, surtout "bien fade" le roman suivant.

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Le barbaresque

Miguel de Cervantès, héros de la bataille de Lépante, combat au service de « la sainte Ligue, la chrétienté unie contre les infidèles » (p. 9). « Nous voguions sur une Méditerranée de pirates, de bandits à sabres et grappins, des gens de rien, des renégats convertis, une mer en proie à tous les pillages, à la rapine du ponant à l’orient, du septentrion aux mers méridionales. » (p. 9) Le navire sur lequel Cervantès est embarqué est attaqué par des pirates barbaresques qui font prisonniers l’équipage et les emmènent en Barbarie. « Prisonniers sur le pont, nous vîmes se dessiner devant nous la route de l’exil, le chemin qui menait vers la Barbarie. » (p. 23) C’est à Alger que les prisonniers chrétiens sont débarqués. Si certains, en reniant la religion du Christ, s’assurent un avenir confortable, les captifs fidèles à la chrétienté entrent dans un commerce particulier, celui des rançons. « Les captifs sont la richesse de la Barbarie. […] Achetez-les, vendez-les, mais prenez-en soin. Certains valent plus cher que de l’or. » (p. 28) Miguel et son frère Rodrigo deviennent ainsi la propriété d’El Cojo, un bandit d’Alger, qui attend que des religieux chrétiens viennent payer la rançon des deux frères.

Alors que les premiers temps sont nourris de l’insoutenable douleur de l’exil et de la captivité, tout bascule quand Miguel rencontre Zorha, fille d’Hadji Mourad, représentant de la Porte en Barbarie. Leur amour est interdit, mais il offre à l’Espagnol et à la belle Mauresque une liberté insoupçonnée. « Ma captivité était devenue un délice, une promesse de beaux lendemains, un horizon dont je voyais les contours et que je n’avais jamais connu, les frontières d’un nouveau pays qui s’appellerait l’amour. » (p. 126) Alger devient la ville du plaisir et du bonheur et le retour au pays s’incarne en une sourde angoisse : « L’Espagne n’avait plus grande importance à mes yeux, car j’avais compris qu’il n’est pire exil que celui du cœur. » (p. 157)

Mais la Méditerranée est sillonnée et entourée d’êtres aux désirs contraires. Certains, comme Hadji Mourad, veulent établir la paix sur ses rives et dans ses eaux. Le père de Zohra charge Miguel d’une mission secrète : l’Espagnol doit tout tenter pour établir la paix entre les Chrétiens et les Mahométans. Entre son honneur et son amour, Cervantès est partagé. « Un secret est d’autant plus lourd à porter qu’il engage votre amour. Les secrets rendent le désir encore plus fou. » (p. 151) Alors qu’Alger s’ébranle au lendemain de la prise de pouvoir d’Hassan le Vénitien, Cervantès doit défendre sa vie et mener à bien sa mission en se défendant des attaques perfides d’un vieil ennemi, l’Espagnol Sigura, à la solde de l’Inquisition. Et quand le retour en Espagne se profile, la perte de la bien-aimée est plus cruelle que n’est grande la joie de retrouver les siens. La bataille contre les moulins à vent ne fait que commencer.

Comment ne pas penser aux toiles de Delacroix en lisant le récit fictif que Cervantès fait de sa captivité en Barbarie ? Olivier Weber évoque les mêmes beautés que celles qui se dégagent des peintures de l’orientaliste. Le personnage de Zohra est une toile de maître au sein du roman. La jeune femme est une odalisque parfaite, « une bien-aimée sortie du Cantique des Cantiques, les seins offerts, les reins cambrés, la peau ambrée, les yeux ourlés de noir, comme une invitation au désir. » (p. 174) De même, la description d’Alger s’offre comme une peinture : « Alger la rebelle, l’insoumise, l’infidèle aux belles femmes, aussi traîtresses que les pirates. » (p. 24). La cité se dessine sous les traits d’une ville merveilleuse, aux frontières de l’imagination. Tout y semble possible, mais également dangereux. Cette ville a choisit ses maîtres : « Alger appartient tout d’abord aux pirates, aux renégats, aux chrétiens convertis à la religion du prophète Mahomet. » (p. 207) Cependant la ville se présente également comme un creuset culturel et religieux. Les captifs chrétiens ont leur propre cité au sein d’Alger et les Juifs sont légions entre ses murs. Certains cherchent à établir la concorde entre les trois religions du Livre, mais les intérêts politiques et stratégiques s’imposent et mettent en péril l’harmonie.

Cette autobiographie fictive est servie par une plume habile et intelligente. Les évocations amoureuses sont fines et poétiques et emplissent le texte de parfums suaves. Les intrigues politiques sont décrites avec clarté et le roman tout entier offre un éclairage simple sur une période de l’histoire de la Méditerranée et des relations entre Chrétiens et Mahométans. Olivier Weber offre ici un très beau roman d’aventure et une romance digne des histoires d’amour les plus légendaires.


Lien : http://www.desgalipettesentr..
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Frontières

Récit de voyages aux frontières de différents pays du globe, instructif et agréable à lire, jamais lassant. A lire absolument !
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Frontières

Quelle jubilation de lire un récit de voyages, d'aventures et de rencontres aux 4 coins du monde si riche en citations de grands écrivains et en références à des personnalités aussi variées qu'extraordinaires ! L'auteur analyse les particularités communes à toute frontière dont le passage ne constitue pas une simple formalité. Sur ces zones, les rencontres ne peuvent être anodines tant le franchissement de ces lignes est chargé de sens. Toutes les parcelles de vie de migrants racontées sont aussi bouleversantes qu'essentielles à la restauration de notre compassion active...

Une très belle plume pour une formidable épopée moderne !
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Frontières

L'auteur évoque certains de ses voyages qui l'ont conduit à franchir des frontières au Moyen Orient, en Amérique du Sud, Europe ou encore autour du Détroit de Gibraltar...

Sur ces lignes imaginaires ou suivant le relief se croisent des personnes aussi différentes que des contrebandiers, des passeurs, des humanitaires, des migrants, des trafiquants, des prostituées... Ces frontières très animées révèlent des tensions, l'hypocrisie des pratiques et la complexité des peuples.

Ils nous fait part de ses différentes rencontres de tout genre, souvent avec gravité, parfois avec humour.

Olivier Weber nous donne quelques repères historiques et références littéraires.

Nous apprenons beaucoup sur les ambiances et les conditions de vie des peuples aux frontières à travers les observations de l'auteur et des anecdotes. Cet ouvrage très instructif nous fait également réfléchir sur la notion-même de frontières dans un contexte de repli sur soi.
Lien : http://www.carnetsdeweekends..
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L'enchantement du monde

Livre lumineux, mais où est le vrai ? où est le faux ?

Là est toute la question... toujours non résolue.

Blanc ou noir ? Noir ou blanc ? Gris ça vous dit ? pas sûr...

Un indice : n'oubliez pas la perspective.

Évidemment, rien n'est simple et Olivier Weber le sait bien qui nous fait naviguer au milieu des intolérances et des contradictions rendant l’opiniâtreté et la sincérité liées à l'amour victorieuses.
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L'enchantement du monde

PARIS MATCH: "Voir les Turcs en peinture"

La chronique de Gilles Martin-Chauffier sur le roman d'Olivier Weber, L'Enchantement du monde.

Peindre un sultan était insultant. En faisant revivre la splendeur du 7e souverain ottoman, Olivier Weber montre que la fascination pour la Turquie ne date pas d’hier.



Je n’ose imaginer l’hystérie de la classe politique française si le FLNC, l’ETA ou qui vous voudrez tuait, chaque semaine, deux, trois, cinq ou dix militaires français. On décréterait la nation en danger, Valls mobiliserait chacun de ses centimètres à la tribune, Marine Le Pen invoquerait Jeanne d’Arc et les grands principes républicains seraient priés de regagner l’antichambre. Rien à voir avec nos intransigeantes exigences démocratiques à l’égard de la Turquie. Qu’importe que le PKK tende sans cesse des embuscades à son armée, qu’il se serve de la Syrie en vrac comme d’une providentielle base arrière, qu’il fasse couler le sang comme l’eau. Paris a tranché : Erdogan devrait ne s’occuper que de Daech. Qu’il ne soit pas entièrement à notre service est un scandale ! Ce monsieur joue double jeu. Et il le fait cartes sur table, contrairement à d’autres qui annoncent des opérations qu’ils ne mènent pas, promettent du matériel qu’ils ne livrent pas et instituent des lignes rouges qu’ils ne voient jamais franchies.

Les janissaires complotent, les vizirs intriguent...



Pendant ce temps, la Turquie héberge 2 millions de Syriens dont vous et moi, les Européens, nous demandons quel saint prier pour éviter de les recueillir. Heureusement pour elle, il y a des siècles qu’elle a pris l’habitude de recevoir nos leçons et de n’en faire qu’à sa tête. Si vous en doutez, lisez donc le roman d’Olivier Weber. On est à Venise vers 1470. Le doge Mocenigo et ses marchands n’en fnissent pas de reculer les limites de leurs atlas. Sur les quais déambulent caftans, turbans persans, tuniques mongoles, manteaux géorgiens... Tout l’or, l’argent et l’ivoire d’Afrique et d’Asie fnissent dans leurs coffres. Seule ombre au tableau : Istanbul. De là-bas, les Ottomans commencent à prendre leurs aises en mer Egée. Avant d’envoyer les trois cents galères de combat, mieux vaut tout de même négocier.



Miracle : telle est aussi la préférence de Mehmet II. Premier sultan ottoman à n’être plus nomade, il se rêve en Alexandre le Grand, parle grec, latin, hébreu et veut faire savoir à tous que sa capitale est le centre du monde. Pour cela, il lui faut des peintres qui montreront sa légende. Un peuple sans images est un peuple sans mémoire. D’où l’ordre que donne Mocenigo à Gentile Bellini, le peintre officiel de la Sérénissime : aller faire le portrait du sultan. Première surprise : la ville est encore plus riche que la sienne. Plus accueillante même : des juifs de toute l’Europe s’y réfugient. Seconde stupeur : elle réussit même à être plus machiavélique. Les janissaires complotent, les vizirs intriguent, les oulémas s’opposent à la représentation de l’homme en images – surtout s’il s’agit du Protecteur des croyants. Les nids d’intrigues pullulent ; l’étrangleur n’est jamais loin, les houris non plus. Soudain, Venise a l’air d’une cour de récréation. Mais Bellini ira au bout de leur projet, passera des mois dans la Ville des villes et reviendra subjugué par cet Orient aux saveurs d’Occident.
Lien : http://www.parismatch.com/Ch..
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L'arrière-pays

Ah, elle est belle la France !

Voici une phrase qui peut être interprétée de plusieurs façons.

Olivier WEBER sait nous faire aimer ces paysages et respirer l'air pur des montagnes.

Mais il sait aussi nous parler des dessous de bien des affaires dégradant la nature et l'image de cette France qui laisse les intérêts privés profiter outrageusement de combines néfastes à l'intérêt public.

Les héros principaux sont jeunes et instruits, se côtoyant plus grâce à leur passé que par leurs choix de vie. Ils ne sont pas naïfs ni désabusés ni tourmentés et attachés différemment à trouver une raison à leur vie.

La question est de savoir s'ils auront la force d'aller jusqu'au bout de leur choix, quitte à y perdre leur vie. Ou bien s'ils s'accommoderont d'un état défait.

On leur souhaite tout le bonheur du monde, en se demandant quelle est la meilleure façon de fermer les yeux.
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L'arrière-pays

L histoire d un berger aussi alpiniste apprenant la mort d un ami retrouve dans un glacier.

Un meurtre .

Il va être happé par les lumières de la ville pour y trouver un monde sombre et la corruption.

Beau roman a la limite du roman noir très bien documenté et une histoire d amour a travers les hauts sommets.
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L'arrière-pays

Un roman qui ajoute du relief au relief. Tellement bien documenté qu'il met aussi en surface ce que beaucoup voudraient cacher.

Il y a d'autres romans qui pourraient s'inspirer de faits réels, comme l'histoire de l'expulsion de la ZAD de la Dune en pleine période de confinement.
Lien : https://lareleveetlapeste.fr..
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Le barbaresque

Cette vie de Cervantès est passionnante. Et en grande partie inconnue. L'écrivain, grand reporter et aventurier Olivier Weber a écrit là une belle fresque, d'amour et de vent, d'idéal et de sang. Un "Capitaine Alatriste" à la française.

Laurent Marielle
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L'arrière-pays

Un livre à dévorer sans modération !

Jonathan, jeune berger, par amitié pour Guillaume, par amour pour Léna, se retrouve dans un milieu où règne la corruption, les trafics, les crimes ...

Les amis sont-ils vraiment des amis, les amours sont-ils sincères, les rencontres sont-elles fortuites ...

Une fiction qui pourrait être réalité !

Merci Olivier Weber pour cet ouvrage !
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La confession de Massoud

Par ce très beau roman sur le Lion du Panjshir Olivier WEBER rend hommage à MASSOUD qu'il a côtoyé et se fait son porte-parole en imaginant une lettre du commandant à son fils à qui il veut transmettre sa propre lecture du Coran et les raisons de son combat. Ce roman nous enseigne ce qu'est le véritable Islam des Lumières et le Soufisme, loin des idéologies sectaires. On découvre également un homme qui a été passionné par son pays, l'Afghanistan, par la littérature et la poésie. Ce roman est un message universel de paix et de tolérance à mettre entre toutes les mains...
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Dictionnaire amoureux de Joseph Kessel

Un bel essai très personnel sur le roman, l'aventure et le reportage de guerre. La filiation est là, de Hemingway à Kessel, de Dos Passos à Vassili Grossman, de Malaparte et Jack London à Olivier Weber. Des reporters de guerre devenus romanciers. Tous ont su mélanger le réel et l'imaginaire, tous ont su s'inspirer de leurs expériences de la guerre pour plonger dans le roman et nous expliquer le monde. J'ai dévoré ce livre, qui est tout sauf une biographie, bien plutôt à la fois un essai, un récit de voyage, un livre où se mêlent l'engagement, l'aventure, l'élan romanesque et l'autobiographie. Même s'il manque quelques entrées, sur l'aventure précisément, le livre est réussi et passionnant. Je l'ai découvert en lisant la liste des recommandations du Prix Goncourt pour l'été. Et à mon tour je le recommande, vivement...
Lien : https://rcf.fr/culture/portr..
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L'enchantement du monde

magnifique roman et tellement bien écrit !!! un véritable enchantement. J'aime cet écrivain !

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Dictionnaire amoureux de Joseph Kessel

Des pages et des pages, mais quelles pages ! Un subtil mélange d'émotion, d'humour et de gravité.

Tout en partageant parfois son vécu, Olivier WEBER nous entraîne dans l'univers de Joseph KESSEL où règnent le goût de l'aventure et le sens de la fraternité. Tout y est : ses voyages, ses passions, ses rencontres, ses drames, son âme de reporter-romancier qui l'a si bien inspiré pour conjuguer réalité et fiction.

De Tintin à Conrad, de la mer Rouge aux cabarets russes, Olivier WEBER assemble un kaléidoscope tout aussi passionné que passionnant.

Un grand moment de lecture !
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Le barbaresque

Cette vie de Cervantès est passionnante. Et en grande partie inconnue. L'écrivain, grand reporter et aventurier Olivier Weber a écrit là une belle fresque, d'amour et de vent, d'idéal et de sang. Un "Capitaine Alatriste" à la française.

Laurent Marielle
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Le barbaresque

Prix Amerigo-Vespucci 2011


Lien : http://www.grandbivouac.com/..
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